Jennifer Lawrence vient de tourner sa «première scène de sexe» dans le film de science fiction et romance réalisé par Morten Tyldum prévu pour la fin 2016. Lors d'une interview pour le magazine «Hollywood Reporter», l'actrice Américaine dit qu'elle a eu beaucoup de mal à tourner les scènes de sexe avec son partenaire Chris Pratt pour les besoins du film «Passengers».
«J'ai tourné ma première scène de sexe il y a quelques semaines et c'était vraiment bizarre.»
La star de la saga «Hunger Games» explique qu'elle a du boire quelques verres d'alcool avant de passer à l'acte «J'étais vraiment, vraiment ivre dit-elle. Mais quand je suis rentrée chez moi, mon anxiété sait amplifié . Je me suis dit : "Qu'ai-je fait ? Je ne sais pas." Et il était marié. Et c'était la première fois que j'embrassais un homme marié, et la culpabilité est le pire sentiment que l'on peut avoir aux tripes mais que c'était mon travail, je n'arrivais pas à me faire à l'idée. Donc j'ai appelé ma mère, et je lui ai dit : "Peux-tu me dire que tout va bien ?" (...) J'étais juste très vulnérable», a-t-elle poursuivi.
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Jennifer Lawrence vient de tourner sa «première scène de sexe» dans le film de science fiction et romance réalisé par Morten Tyldum prévu pour la fin 2016. Lors d'une interview pour le magazine «Hollywood Reporter», l'actrice Américaine dit qu'elle a eu beaucoup de mal à tourner les scènes de sexe avec son partenaire Chris Pratt pour les besoins du film «Passengers».
«J'ai tourné ma première scène de sexe il y a quelques semaines et c'était vraiment bizarre.»
La star de la saga «Hunger Games» explique qu'elle a du boire quelques verres d'alcool avant de passer à l'acte «J'étais vraiment, vraiment ivre dit-elle. Mais quand je suis rentrée chez moi, mon anxiété sait amplifié . Je me suis dit : "Qu'ai-je fait ? Je ne sais pas." Et il était marié. Et c'était la première fois que j'embrassais un homme marié, et la culpabilité est le pire sentiment que l'on peut avoir aux tripes mais que c'était mon travail, je n'arrivais pas à me faire à l'idée. Donc j'ai appelé ma mère, et je lui ai dit : "Peux-tu me dire que tout va bien ?" (...) J'étais juste très vulnérable», a-t-elle poursuivi.